Vous suspectez une baisse de l’audition chez un proche ?
Comment l’aider à en prendre conscience ou le décider à réaliser un test de dépistage auditif ?
Voici quelques conseils pour aborder le problème et six arguments pour dialoguer.
Comprendre un proche qui perd l’ouïe
Vous avez remarqué chez un proche des signes de mauvaise audition. Cette personne vous fait répéter, monte le volume, s’isole. Comment l’aider ?
Il faut d’abord comprendre qu’une perte auditive est le plus souvent progressive. C’est pour cela que la plupart des gens mettent du temps à s’en rendre compte et à l’accepter.
Pour comparaison, le texte d’un livre peut être flou et nécessite qu’on approche la page. Ce geste bien connu rend très « visible » le problème, tant par le lecteur, que par l’entourage. Mais on peut passer à côté d’une baisse progressive de l’ouïe ou ne pas vouloir l’admettre. D’ailleurs, votre proche vous signale peut-être que ce sont les autres qui n’articulent pas ou parlent trop vite.
Les avantages d’un dépistage précoce de la baisse d’audition
La clé d’un service personnalisé et adapté à votre besoin et vos attentes :
L’ouïe se détériore progressivement et ne pourra pas être récupérée. Un dépistage précoce permet de limiter les conséquences directes de la baisse d’audition, à savoir les problématiques de santé, d’isolement, d’anxiété de la personne (et de son entourage), la dépendance. Ce dépistage mis en œuvre suffisamment tôt, quand les premiers signes apparaissent, favorise donc le maintien :
Bref, si vous sentez chez ce proche des réticences psychologiques à consulter, à admettre les signes avant-coureurs de troubles auditifs, voici quelques conseils pour l’accompagner.
4 conseils pour aborder la question :